Com’Eau Labo

Germain ANTOINE

Docteur de l’Université de Grenoble Joseph Fourrier – Electricité De France Recherche & Développement.

ger­main.antoine[at]edf.fr

Germain Antoine a réa­lisé une thèse au Laboratoire National d’Hydraulique et Environnement (EDF R&D). Ce tra­vail a été co-enca­dré par l’IRSTEA de Lyon et le LTHE de Grenoble. Son tra­vail de thèse, inti­tulé « Dynamique des Matières En Suspension (MES) le long de riviè­res amé­na­gées de mon­ta­gnes : exem­ple de l’Arc en Maurienne et de l’Isère » lui a donné l’occa­sion de tra­vailler sur un sujet d’inté­rêt pour plu­sieurs acteurs : la ges­tion des sédi­ments fins sur le réseau Arc Isère. Dans ce cadre, il a par­ti­cipé à des réu­nions de tra­vail regrou­pant des acteurs tels que le Conseil Général, des syn­di­cats de riviè­res, l’ONEMA, le Cemagref, la DIREN, la DDT et EDF pour débat­tre des actions à mener et de leurs consé­quen­ces. La com­mu­ni­ca­tion scien­ti­fi­que est donc au cœur de son tra­vail. Ayant ter­miné son cursus en école d’ingé­nieur (l’École Nationale du Génie de l’Eau et de l’Environnement de Strasbourg) par un master 2 de recher­che (à l’Institut de Mécanique des Fluides et des Solides), et après avoir effec­tué des stages en milieux aca­dé­mi­que (Stockholm University) et appli­qué (EDF R&D), il pra­ti­que la science dans ses dimen­sions appli­quée et aca­dé­mi­que. Enfin, sa forte impli­ca­tion passée au sein de l’asso­cia­tion Natur’astrass, dont un des objec­tifs est de sen­si­bi­li­ser les écoliers à des ques­tions scien­ti­fi­ques liées à l’Eau, lui donne une pre­mière expé­rience en termes de vul­ga­ri­sa­tion et de com­mu­ni­ca­tion scien­ti­fi­que. Il conti­nue aujourd’hui son tra­vail de recher­che appli­quée au sein du Laboratoire National d’Hydraulique et Environnement (dépar­te­ment d’EDF R&D), et reste impli­qué dans la dyna­mi­que du labo­ra­toire junior.

Véronique BENACCHIO

Doctorante à l’Université Lumière Lyon II – UMR 5600 EVS – Géomorphologue - Ecologue

vero­ni­que.benac­chio[at]ens-lyon.fr

Véronique est actuel­le­ment en thèse au sein de l’Université Lyon 2, où elle tra­vaille sur l’ « étude, par ima­ge­rie in situ, des pro­ces­sus bio­phy­si­ques liés au fonc­tion­ne­ment des milieux flu­viaux ». Le but de ses tra­vaux est de contri­buer à faire de l’ima­ge­rie de ter­rain un outil d’aide à la connais­sance des milieux aqua­ti­ques et à leur ges­tion, pour les acteurs concer­nés. Elle retrouve dans ce contexte l’inte­rac­tion entre cher­cheurs et acteurs de la ges­tion des cours d’eau, aspect déjà abordé en tra­vaillant sur les ques­tions de res­tau­ra­tion du trans­port solide dans l’Ouvèze ardé­choise (Université Lumière Lyon II), sur l’appli­ca­tion de la direc­tive euro­péenne sur l’eau en Italie (Università degli studi di Padova), ou en réa­li­sant une étude sur l’évolution phy­si­que de la rivière d’Ain, pour le compte du syn­di­cat gérant (SIABVA). Issue d’un par­cours plu­ri­dis­ci­pli­naire (licence en bio­lo­gie/écologie à l’Université Lyon 1, master en géo­gra­phie/COGEVAL’EAU à l’Université Lyon 2), elle a également pu mesu­rer l’impor­tance et les enjeux de la com­mu­ni­ca­tion entre les scien­ti­fi­ques des dif­fé­ren­tes dis­ci­pli­nes, pour la com­pré­hen­sion et le bon dérou­le­ment des tra­vaux ras­sem­blant des inter­ve­nants d’hori­zons divers.

Camille BOUCHEZ

Doctorante - Université d’Aix-Marseille CEREGE, UMR 6635 - Hydro-géo­lo­gue / Hydro-géo­chi­miste

camille.bou­chez[at]ens-lyon.fr

Camille Bouchez réa­lise actuel­le­ment une thèse inti­tu­lée « Bilan et dyna­mi­que des échanges lac/aqui­fè­res dans le bassin hydro­géo­lo­gi­que du lac Tchad ». Son tra­vail s’ins­crit dans un vaste projet ras­sem­blant des équipes de recher­che fran­çai­ses et afri­cai­nes dans des dis­ci­pli­nes variées ainsi que des acteurs locaux. Camille a été amenée à se poser la ques­tion du dia­lo­gue scien­ti­fi­que et de la res­ti­tu­tion des connais­san­ces a priori (notam­ment pour pré­pa­rer les mis­sions de ter­rain) et à une échelle inter-cultu­relle. Ancienne élève de l’ENS Lyon où elle a étudiée la géo­lo­gie, elle s’est ensuite spé­cia­li­sée dans le domaine des res­sour­ces en eau en fai­sant un master à l’Université Pierre et Marie Curie (UPMC) en hydro­lo­gie-hydro­géo­lo­gie. Elle a réa­lisé des stages en France, au CNRS et au Cemagref mais aussi à l’étranger, à l’Imperial College (Londres) et à l’IRD au Kenya, lui offrant des expé­rien­ces de recher­che et de com­mu­ni­ca­tion scien­ti­fi­que contras­tées.

Emeline COMBY

Doctorante - Université Jean Moulin, Lyon 3 - UMR 5600 EVS - Géographe

eme­line.comby[at]ens-lyon.fr

Son tra­vail de thèse porte sur une géo­his­toire des dis­cours média­ti­ques pro­duits à l’égard des fleu­ves Rhône et Sacramento. Son étude aborde trois aspects de la com­mu­ni­ca­tion des médias de presse écrite : le contenu du mes­sage média­ti­que mais aussi sa pro­duc­tion et sa récep­tion. Elle par­ti­cipe à deux pro­gram­mes de recher­che inter­dis­ci­pli­naire : le Programme « Eaux et ter­ri­toi­res » financé par le MEDDAT dans le Projet Créateurs de Drôme et le pro­gramme « Risques natu­rels : Compréhension et Maîtrise » dans le Projet GESTRANS (ANR). Depuis sep­tem­bre 2011, ses tra­vaux s’ins­cri­vent dans l’Observatoire Hommes-Milieux Vallée du Rhône (Institut Ecologie et Environnement). Les résul­tats de ses tra­vaux ont été valo­ri­sés lors de col­lo­ques sur les ris­ques perçus par les popu­la­tions loca­les (en mai 2010 à Rouen, en sep­tem­bre 2010 à Liessies), sur les enjeux de patri­mo­nia­li­sa­tion et de dura­bi­lité (à Rouen en mars 2011, par­ti­ci­pa­tion à un ouvrage col­lec­tif en cours aux Presses Universitaires de Rennes, col­lo­que à Pau en sep­tem­bre 2011) et sur les ques­tion­ne­ments métho­do­lo­gi­ques (Théo Quant à Besançon en févier 2011). Deux arti­cles scien­ti­fi­ques ont été accep­tés par VertigO et par la Revue du Nord. Elle a par­ti­cipé à dif­fé­rents types de vul­ga­ri­sa­tion : deux arti­cles de vul­ga­ri­sa­tion scien­ti­fi­que sur le site Internet de Géoconfluences, une fête de la science en octo­bre 2011 et le Festival International de Géographie (FIG) pour la pré­sen­ta­tion de deux pos­ters scien­ti­fi­ques hors concours en octo­bre 2008. Par ailleurs, elle fait partie du comité d’ani­ma­tion et d’orga­ni­sa­tion des Cafés Géo de Lyon depuis juin 2011.

Silvia FLAMINIO

Etudiante et ingé­nieur d’études - ENS de Lyon - UMR 5600 EVS - Géographe

silvia.fla­mi­nio[at]ens-lyon.fr

Silvia Flaminio tra­vaille actuel­le­ment sur le pro­gramme de recher­che « Habiter la Rivière d’Ain ». Ce pro­gramme de recher­che, financé en partie par Electricité de France (EDF), porte avant tout sur les per­cep­tions et les atti­tu­des des rive­rains de l’Ain à l’égard de la rivière. Elle appré­hende les per­cep­tions et les atti­tu­des à tra­vers la presse quo­ti­dienne régio­nale et des entre­tiens. Elle a tra­vaillé en Master 1 et 2 sur l’ANR Gestrans --- elle s’est inté­res­sée à l’évolution des repré­sen­ta­tions des ris­ques d’inon­da­tion dans les val­lées du Grésivaudan et de la Maurienne --- et sur le projet ProBerges, financé par la région Rhône-Alpes, autour de la per­cep­tion de la res­tau­ra­tion de l’Yzeron à Oullins et à Sainte-Foy-lès-Lyon. Dans ce der­nier tra­vail elle s’est inté­res­sée en par­ti­cu­lier à la concer­ta­tion, et plus glo­ba­le­ment à la com­mu­ni­ca­tion, autour des pro­jets d’amé­na­ge­ment. Silvia Flaminio pré­pare cette année un projet de thèse sur les bar­ra­ges et leurs repré­sen­ta­tions en France et à l’étranger.

Virginie GIRARD

Docteur - IRSTEA, thèse CIFRE Asconit Consultants - Hydrobiologiste

vir­gi­nie.girard[at]irstea.fr

Virginie Girard a réa­li­sée une thèse CIFRE en hydro­bio­lo­gie à l’IRSTEA et en col­la­bo­ra­tion avec Asconit Consultants. Son tra­vail de thèse por­tait sur les « Modèles d’habi­tat sta­tis­ti­ques pour la ges­tion des débits des cours d’eau en milieux insu­lai­res tro­pi­caux ». Ce sujet de thèse repo­sait sur une étroite col­la­bo­ra­tion avec dif­fé­rents acteurs (ges­tion­nai­res publics, cher­cheurs locaux et asso­cia­tions) afin de four­nir des outils de ges­tion quan­ti­ta­tive des débits. En par­ti­cu­lier, elle déve­loppe des modè­les d’habi­tat sta­tis­ti­ques exis­tants et lar­ge­ment employés en métro­pole (www.irstea/sta­thab2). Outre sa for­ma­tion plu­ri­dis­ci­pli­naire en hydro­bio­lo­gie, hydrau­li­que, hydro­lo­gie et qua­lité phy­sico-chi­mi­que de l’eau, acquise en école d’ingé­nieur (Polytech‘Montpellier), elle est diplô­mée d’un master en science d’une uni­ver­sité anglaise (Cranfield University) qui lui confère des connais­san­ces étendues à l’aspect socio-économique de la ges­tion de l’eau. Elle a également tra­vaillé durant une année de césure avec l’IRD en Equateur sur la mise en appli­ca­tion de la méthode des micro-habi­tats pour défi­nir les débits écologiques dans un contexte légis­la­tif équatorien en muta­tion (lors de l’établissement de la nou­velle cons­ti­tu­tion équatorienne). Ainsi à tra­vers cette expé­rience « multi-acteurs » dans le domaine de la ges­tion des débits et son expé­rience à l’inter­na­tio­nale, elle a inté­gré par­fai­te­ment la néces­sité de défi­nir le rôle et l’éthique du scien­ti­fi­que. Enfin, elle per­çoit que la com­pré­hen­sion des enjeux des pro­jets de recher­che et que savoir com­mu­ni­quer aux dif­fé­ren­tes par­ties pre­nan­tes d’un projet sont deux com­pé­ten­ces atten­dues chez le jeune cher­cheur. Aujourd’hui elle pour­suit ses acti­vi­tés de recher­ches au sein du bureau d’étude Asconit Consultants et reste inté­res­sée par les thé­ma­ti­ques abor­dés au sein de Com’Eau Labo.

Bertrand MORANDI (responsable)

Doctorant - ENS de Lyon - UMR 5600 EVS - Géographe

ber­trand.morandi[at]ens-lyon.fr

Bertrand Morandi conduit un tra­vail de thèse inti­tulé « Approche glo­bale et cri­ti­que de la res­tau­ra­tion des riviè­res en France et à l’étranger : éléments pour l’aide à l’action ». Cette thèse est finan­cée dans le cadre d’une conven­tion de recher­che entre le CNRS et l’Office National de l’Eau et des Milieux Aquatiques (ONEMA). Il a tra­vaillé, durant ses Masters 1 et 2 (2008-2010), dans le cadre d’un projet de recher­che Européen FORECASTER dont l’objec­tif était l’échange de métho­des, d’expé­rien­ces et de don­nées dans le domaine de la res­tau­ra­tion hydro­mor­pho­lo­gi­que. Il s’est également inté­ressé aux poli­ti­ques de com­mu­ni­ca­tion des acteurs fran­çais de la res­tau­ra­tion de riviè­res en condui­sant un tra­vail de recen­se­ment Internet des pro­jets décla­rés. Il par­ti­cipe actuel­le­ment à l’orga­ni­sa­tion d’un cycle de Séminaires jeunes cher­cheurs (UMR 5600 EVS / ONEMA) inti­tulé « Perception et Gestion envi­ron­ne­men­tale des milieux aqua­ti­ques » orga­nisé à l’ENS de Lyon qui place la ques­tion de la rela­tion entre scien­ti­fi­ques et ges­tion­nai­res au cœur des débats (cf. site Internet : http://per­cep­tion-aqua.ens-lyon.fr/).

Elsa PARROT (responsable)

Doctorante - Université Jean Moulin, Lyon 3 - UMR 5600 EVS - Géomorphologue

elsa.parrot[at]ens-lyon.fr

Elsa Parrot est actuel­le­ment en thèse de géo­mor­pho­lo­gie flu­viale à l’UMR 5600 EVS. Son sujet, « Analyse spa­tiale et tem­po­relle de la mor­pho­lo­gie du chenal du Rhône, du Léman à la Méditerranée », fait partie inté­grante des tra­vaux menés par l’Observatoire des Sédiments du Rhône (OSR). Cette thèse est finan­cée par le CNRS dans le cadre de l’OSR. Elle col­la­bore et est amenée à échanger avec dif­fé­ren­tes équipes scien­ti­fi­ques (CEREGE, IRSTEA) et des ges­tion­nai­res (Compagnie Nationale du Rhône-CNR, Voies Navigables de France-VNF). Son par­cours plu­ri­dis­ci­pli­naire (licence de Sciences de le Terre, Master 1 d’Environnement, Master 2 d’Hydrologie-Hydrogéologie, Doctorat de Géographie Physique) ainsi que ses stages en labo­ra­toire (dans le domaine de la géo­lo­gie, l’envi­ron­ne­ment et l’eau) et en entre­prise (EDF-BRGM), lui ont permis « d’être confron­tée » aux pro­blè­mes de com­mu­ni­ca­tion entre les dif­fé­rents domai­nes scien­ti­fi­ques et dif­fé­rents points de vue. Sa par­ti­ci­pa­tion aux ani­ma­tions scien­ti­fi­ques (Fête de la Science, Année Internationale de la Planète Terre en Géosciences…) lui a fait pren­dre cons­cience de l’impor­tance de la com­mu­ni­ca­tion au grand public et de l’inté­rêt que chacun porte aux avan­cées scien­ti­fi­ques.

Jérémie RIQUIER (responsable)

Doctorant - Université Lumière Lyon 2 - UMR 5600 EVS - Géographe

jere­mie.riquier[at]ens-lyon.fr

Il mène actuel­le­ment un tra­vail de thèse inti­tulé « Dynamiques hydro-sédi­men­tai­res des Zones Aquatiques Périfluviales du Rhône : étude com­pa­rée de sites res­tau­rés et non res­tau­rés ». Cette thèse est finan­cée dans le cadre du pro­gramme de res­tau­ra­tion hydrau­li­que et écologique du Rhône, au sein duquel une équipe plu­ri­dis­ci­pli­naire de cher­cheurs (IRSTEA de Lyon, LEBA - uni­ver­sité de Genève, CNRS UMR 5023, CNRS UMR 5600) a été sol­li­ci­tée pour mener un suivi scien­ti­fi­que des opé­ra­tions de res­tau­ra­tion. Il est ainsi amené à échanger avec des scien­ti­fi­ques d’hori­zons divers (Hydrologues, Hydrauliciens, bio­lo­gis­tes, écologues) dans le but d’évaluer les consé­quen­ces écologiques et la réponse du sys­tème aux actions de res­tau­ra­tion phy­si­que de l’habi­tat. La for­ma­tion plu­ri­dis­ci­pli­naire qu’il a reçu au sein du Master 2 spé­cia­lité « COnnaissance, GEstion et mise en VALeur des Espaces Aquatiques conti­nen­taUx » (COGEVAL’EAU - Université Lyon 2) lui a permis d’être par­ti­cu­liè­re­ment sen­si­bi­lisé à la pro­blé­ma­ti­que du rela­tion­nel entre scien­ti­fi­ques et ges­tion­nai­res ainsi qu’aux ques­tions de com­mu­ni­ca­tion dans le cadre de l’élaboration de projet (études opé­ra­tion­nel­les) ou de plans de ges­tion (SAGE, Contrats de riviè­res, ...).

Martin VIGAN

Doctorant à l’INRA de Toulouse, UMR Dynafor - Agronome

martin.vigan[at]ens-lyon.fr

Ingénieur de recher­che contrac­tuel au sein de l’UMR Environnement, ville, société en 2012 et 2013, Martin a tra­vaillé sur le projet OPTIQ-Biodiversité (Outils et pro­ces­sus de ter­ri­to­ria­li­sa­tion inté­grée de la qua­lité de la bio­di­ver­sité) lors duquel il est prin­ci­pa­le­ment inter­venu sur deux aspects : la co-cons­truc­tion d’une démar­che par­ti­ci­pa­tive et la concep­tion de repré­sen­ta­tions car­to­gra­phi­ques pour faci­li­ter, lors de cette démar­che, les échanges entre acteurs du ter­ri­toire d’étude (élus, pro­prié­tai­res fores­tiers, habi­tants, établissement publics, ins­ti­tu­tion­nels…) ainsi qu’entre cher­cheurs et acteurs. Aujourd’hui, il est doc­to­rant au sein du labo­ra­toire Dynafor (INRA de Toulouse) et tra­vaille sur les moyens de repré­sen­ter et scé­na­ri­ser spa­tia­le­ment les contri­bu­tions réci­pro­ques entre arbres et agri­cultu­res à l’échelle de ter­ri­toi­res. Pour cela, une phase par­ti­ci­pa­tive impor­tante est prévue pour s’assu­rer que le modèle de repré­sen­ta­tion de ces contri­bu­tions fasse sens pour les acteurs des ter­ri­toi­res étudiés. Dans son tra­vail de recher­che, Martin met à contri­bu­tion les acquis de sa for­ma­tion d’ingé­nieur agro­nome notam­ment en termes de déve­lop­pe­ment ter­ri­to­rial, d’écologie, d’espa­ces fores­tiers.